Lalilou marchait a astrub furieuse:Weavile lui avait rendu visite et voyant qu'elle avait bien festoyé c'est dérnier temps,lui avait fait mainte compliment sur 2 ou 3 kilos embétant.Alors qu'elle marchait,perdu dans ses pensées,elle trébucha et regarda le propriétaire allogé sur une chaise longue des pied étendu sur lequel elle avait buté.C'été un énutrof coiffé d'un chapeau de mousquetaire noirs,avec une cape noirs et des habis noirs également.avant de boirs sa biére il lança a l'énirispa:
-Alors petite,on ne voit plus ou l'on marche?
-ha oui? Et bien vous vous avez un grand...age!Cria l'énirispette.
Tout les guerrier autours du grand pére se tournérent vers lui car il avait en horreur qu'on parle de son age.
Il se leva lentement et dit:
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune fille !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton,par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais un tel age,
Il faudrait sur le champ que je me mourrasse ! »
Amical : « mais vous devez traîner en marchant :
, faites-vous apprivoiser une monture ! »
Descriptif : « c'est un age ! ... c'est un millésime... c'est un siécle !
Que dis-je, c'est un siécle ? ... c'est un millénaire! »
Curieux : « de quoi occupé vous votre journée,monsieur ?
Dormir, monsieur, ou manger ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les vin
Que paternellement vous préoccupez vous
De prendre l’age de leur meilleur goût ? »
Lalilou a ces mot tourna talon pour s'en aller mais le vieux,d'une vitesse incroyable,réaparut devant elle et continua:
-Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous dormez,
Le silence du ronflement vous n’exprimez
Sans qu'un voisin ne crie un mort juste a coté? »
Prévenant : « gardez-vous, votre corps entraînée
Par manque d‘appuis, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « resté sous un petit parasol
De peur que le soleil plus vite ne vous fane ! »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, que mainte guerrier
Appelle Abraknide ancestrale,Dut avoir le même age ! »
Cavalier : « quoi, l'ami, cet age est à la mode ?
Pour pendre sa retraite c'est vraiment très commode ! »
Emphatique : « aucune farce ne peut, age magistral,
Te dérider tout entier, excepté la weaviale ! »
Dramatique : « c’est la mort assurée quand vous vous cogniez ! »
Admiratif : « pour un croque-mort, quelle déveine ! »
Lyrique : « est-ce une archive, êtes-vous un parchemin ? »
Naïf : « votre tombe, quand la creuse-t-on? »
Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir bien connu ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un age ? Nanain !
C'est queuqu'fromage ben fait ou ben queuqu'vin nain ! »
Militaire : « pointé contre infirmerie ! »
Pratique : « voulez-vous vous mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, vous seriez le dernier lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc cet age qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en vieillie, le traître ! »
Laliou toujours fuyez,mais toujours fut rattrapé.Puis ils arrétérent cette course et le vieux fini:
-Voilà ce qu'à peu près, ma chère, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les cinq qui forment le mot : sotte !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.
Lalilou humiliée se jeta sur le vieillard qui esquiva avec un grand coup de canne et commenta leur bataille:
Attendez !... je choisis mes rimes... Là, j'y suis.
Je jette avec grâce mon feutre,
Je fais lentement l'abandon
Du grand manteau qui me calfeutre,
Et je tire mon espadon ;
Elégant comme Céladon,
Agile comme Scaramouche,
Je vous préviens, cher Mirmydon,
Qu'à la fin de l'envoi je touche !
Ayant pris sa canne en baton et lalilou son marteau,le combat commença:
Premiers engagements de fer.
Vous auriez bien dû rester neutre ;
Où vais-je te larder, dindon ?...
Dans le flanc, sous ton maheutre ?...
Au coeur, sous ton bleu cordon ?...
Les coquilles tintent, ding-don !
Ma canne voltige : une mouche !
Décidément... c'est au bedon,
Qu'à la fin de l'envoi je touche.
Il me manque une rime en eutre...
Vous rompez, plus blanc qu'amidon ?
C'est pour me fournir le mot pleutre !
-Tac ! je pare la masse dont
Vous espériez me faire don :-
J'ouvre la ligne,- je la bouche...
Tiens bien ta masse, Laridon !
A la fin de l'envoi, je touche
jeunette, demande à énirispa pardon !
Je quarte du pied, j'escarmouche,
je coupe, je feinte...
Se fendant.
Hé ! là donc...
lalilou chancelle ; le vieille homme salue.
-A la fin de l'envoi, je touche!
Lalilou,les yeux écarquillé qu'une personne aussi agé l'est malmené demande:
-Mais qui étes vous?
-Mon nom est Messir Hanno Deber-Geurac,mais on m'appelle plus courament Papyvile,seigneur de la branche énutrof du clan vile!
A c'est mot lalilou s'enfuis en se disant:
-décidément,ce clan est bien embétant!